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Si une majorité d’épargnants privilégient les placements sans risques, on note toutefois un regain d’intérêt pour les placements en action.
Dans le détail, on apprend que 3 français sur 10 sont intéressés par les placements en actions et que 40% des épargnants envisagent d’y souscrire prochainement.
Les livrets d’épargne garantissent à l’épargnant la sécurité de son placement et même s’ils proposent un rendement faible, ils restent plébiscités à hauteur de 41%. Ce sont ainsi 52% des personnes interrogées qui refusent tout risque sur les placements et 64% qui déclarent ne pas avoir confiance dans la Bourse.
On constate néanmoins une remontée du taux de détention des actions qui passent de 7,6% en 2016 à 8,7% en 2017, une première depuis une décennie. Ainsi, 44% des français jugent les placements en action comme le moyen d’épargne le plus intéressant sur le long terme et 56% pensent qu’il s’agit d’une « bonne idée » de diversification.
Concernant les motivations des épargnants, la préparation de la retraite est la priorité pour 7 personnes sur 10. A noter que deux critères sont particulièrement importants au moment d’établir une stratégie de placement : l’appréhension du niveau de risque (61%) et le rendement espéré (59%).
Cette étude mentionne également le rôle des banques et notamment du conseiller bancaire. Il apparaît qu’au moment de s‘informer sur les produits d‘épargne et de placement, 73% des français se sentent à l‘aise pour en discuter avec leur banquier.
Au moment de choisir, le conseiller bancaire reste le premier prescripteur lors de la souscription d’un contrat (57%) devant l’entourage proche (famille, amis).
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