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Réaction de la FBF au rapport annuel de l’OTB

Réaction de la FBF au rapport annuel de l’OTB

L’Observatoire des Tarifs Bancaires (OTB) a publié ce jour son rapport annuel, qui montre, pour les tarifs publiés début 2022, une très grande stabilité par rapport à 2021. Huit tarifs sont stables, et l’un est en baisse : l’abonnement aux services de banque à distance, soulignant ainsi que les banques françaises peuvent concilier digitalisation, proximité et satisfaction clients.

Le rapport de l’OTB confirme les tendances déjà présentées en début d’année, que les tarifs bancaires 2022, sont dans leur ensemble, stables. Celui de l’abonnement aux services de banque à distance est en baisse.

Les clients des banques peuvent, à un prix modéré, accéder à un service de proximité, souvent physique par le biais des agences, et aussi digital pour exécuter les opérations les plus simples en autonomie, à tout moment.

Le rapport de l’OTB met par ailleurs en avant la pertinence des offres de services groupées (OSG), qui permettent aux clients de choisir l’offre correspondant le mieux à leurs besoins et leurs évolutions car elles sont adaptables et personnalisables, et les clients peuvent par ailleurs en sortir à tout moment, contrairement aux offres groupées d’autres secteurs.

Concernant certains tarifs, on peut noter les éléments suivants :

  • frais de tenue de compte: la hausse de tarif de 0,07€ par mois, correspond à un service du quotidien qui est souvent intégré dans le prix des offres groupées de services, proposées par les différents établissements bancaires.
  • virements en agence (+0,2€) : ces opérations sont désormais très peu fréquentes, les clients privilégiant les solutions digitales.
  • tarif de cotisation équivalent entre les cartes de paiement à débit immédiat et différé : ceci conduira à faire de l’usage attendu le principal critère de choix des clients, avant le prix.   

Pour Maya Atig, directrice générale de la FBF : « Ce rapport montre que les offres et services bancaires se sont considérablement enrichis ces dernières années, notamment grâce à l’innovation, dans un contexte de sécurité qui n’a jamais faibli. L’engagement des banques en faveur du pouvoir d’achat des Français est continu, et se confirme au fil des ans. Dans leur ensemble, les tarifs bancaires représentent 0,45% du budget des ménages, avec des évolutions qui restent, dans le temps, nettement inférieures à l’inflation générale et surtout celle des autres services utilisés par les ménages. »

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